Cette femme épouse cet homme pour son argent

Publié le 26 avril 2017
MAJ le 27 novembre 2024

Le mariage est un lien sacré qui unit deux êtres pour la vie, et qui vient souvent couronner leur amour et leur attachement l’un à l’autre. D’ailleurs, pour qu’il soit réussi et durable, il doit être basé sur de solides bases d’amour, de confiance, de respect et de partage. Malheureusement, certaines personnes n’y voient qu’un moyen qui leur permet d’arriver « légalement » à des fins pas très honorables, comme celle de bénéficier d’un héritage conséquent à la mort du partenaire fortuné.  Voulant tenter sa chance, cette femme a essayé de faire de même en épousant un homme pour son argent, mais c’était sans compter sur l’intelligence de celui-ci. Voici ce qui s’est passé !

À la vie… mais pas à la mort

Marcel Amphoux était en apparence un homme à l’âge avancé et à la situation financière précaire. Avec son aspect vestimentaire délabré et son style de vie primaire, sans électricité ni eau courante, il pouvait facilement donner l’impression de vivre dans le besoin. Cependant, cette première impression était complètement à l’opposé de la réalité.

En effet, cet homme âgé de 68 ans, avait à son compte une énorme fortune. En plus de l’argent qui remplissait son compte en banque, il avait en sa possession un terrain issu de l’héritage de ses parents, et qui était estimé à plusieurs millions d’euros. Avec sa position stratégique entre une station de sport d’hiver et une zone villa luxueuse, sa valeur ne cessait de se décupler d’année en année.

Mais même s’il était aussi riche que Crésus, Marcel avait choisi de ne pas changer son mode de vie et décidé de faire profiter sa famille et ses amis de sa richesse. Il a donc construit une maison où logeaient gratuitement des amis et des membres de sa famille.

Si vous vous demandez si Marcel avait une épouse ou des enfants, la réponse est non. Les femmes ne figuraient pas dans sa liste de priorité, ou du moins, jusqu’en 2010 où il fait la rencontre de Sandrine Devillard.

femme épouse

Celle-ci a pris contact avec Marcel pour lui proposer de lui vendre une partie de ses terres. Devant le refus de celui-ci, elle l’invite à dîner chez elle. En remarquant le comportement étrange de la jeune femme, les amis et la famille de Marcel l’ont immédiatement mis en garde contre les intentions plus que louches de celle-ci.

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Pourtant le vieil homme semblait être entièrement sous le charme de cette femme de 21 ans sa cadette et restait de marbre face aux conseils et mises en garde de ses proches.

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Un an après leur rencontre, le couple décide de passer devant l’autel, à la surprise de tous.

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Il était clair qu’une jeune femme jolie et bien habillée qui se marie avec un homme de plusieurs années son ainé et mal vêtu, n’en voulait qu’à son argent.

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Malgré leur union et leurs rencontres régulières, puisque Marcel vivait dans les Alpes et Sandrine à Paris, les soupçons concernant la bonne foi de cette dernière persistaient toujours.

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D’ailleurs, il n’a fallu qu’une année pour que ceux-ci soient confirmés. Marcel avait perdu la vie dans un accident de voiture, où il était en compagnie de deux amis de son épouse et qui s’en ont tirés sains et saufs. Malgré ses pleurs et la profonde tristesse qu’elle affichait pendant les funérailles, tous pensaient secrètement qu’elle pouvait être impliquée dans la mort de son époux.

Peu de temps après, Sandrine dévoile son vrai et visage et décide de jeter amis et famille du défunt hors de la demeure qui lui revenait désormais. Mais c’était sans compter sur la surprise que son chéri lui réservait.

femme épouse

Marcel avait tout simplement écrit un testament où il partageait ses biens entre ses amis et sa famille, laissant Sandrine sans le sou. Malgré son âge avancé et tous les manèges usés contre lui, Marcel n’avait pas perdu une once de sa lucidité et de son intelligence.

Privée de son butin, Sandrine intente un procès en justice où elle fait valoir que la signature du testament était fausse. 4 ans après, le verdict lui tombe dessus comme un coup de massue : le testament était bel et bien authentique. Comme dit le fameux dicton : « Rira bien qui rira le dernier » !