La gérante d’une maison close révèle l’heure exacte à laquelle les hommes trompent généralement leur femme
Et si vous découvriez les coulisses d’un lieu souvent entouré de mystères et de fantasmes ? Catherine De Noire, gérante d’un bordel légal, dévoile les horaires d'affluence, les profils de ses clients et quelques secrets bien gardés.
Que se passe-t-il dans un bordel légal ?
Imaginez un hôtel particulier où les visiteurs ne viennent pas pour dormir, mais pour des rencontres tarifées. Cela peut sembler intriguant, presque irréel… Pourtant, ces lieux existent dans certains pays où le travail du sexe est réglementé. Mais à quoi ressemble une journée type dans un tel établissement ? Catherine De Noire, responsable d’un bordel de 100 chambres, nous ouvre les portes de cet univers singulier.
Des horaires bien réglés… et inattendus
Tout commence dès l’aube. De 6 h à 10 h du matin, le bordel ferme pour le nettoyage. Durant cette période, les lieux sont soigneusement réapprovisionnés et désinfectés. Le bâtiment semble en pause, dans une atmosphère presque paisible avant la prochaine vague de visiteurs.
À partir de midi, les choses reprennent doucement. Mais surprise : les premiers clients ne sont pas des noctambules, mais des employés de bureau profitant de leur pause déjeuner. « Ils viennent discrètement pendant leur temps de midi », explique Catherine.
Puis, à partir de 15 h, un autre profil de clientèle apparaît : des hommes mariés cherchant un moment d’évasion avant de rentrer chez eux. « Ils doivent être rentrés à temps pour le dîner familial », précise-t-elle.
Quand la nuit tombe, tout s’accélère
Le calme relatif de l’après-midi laisse place à l’effervescence dès 18 h, avec l’arrivée des travailleuses du soir. À ce moment-là, le bordel se transforme en un lieu plus festif : le bar s’anime, la musique monte et les chambres se remplissent à nouveau.
Le vrai pic d’affluence ? Entre 1 h et 4 h du matin. C’est à ce moment que les groupes débarquent, souvent après avoir fait la fête ailleurs. « Ils arrivent fréquemment éméchés et cherchent à prolonger leur soirée », confie Catherine. À ce stade, tout le personnel est mobilisé : réceptionnistes, agents de sécurité, barmans… et bien sûr, les travailleuses du sexe.
Des confidences de fin de nuit
À partir de 5 h du matin, le calme revient peu à peu. Les dernières clientes quittent les lieux, et c’est alors l’heure des confidences entre collègues. Les travailleuses échangent anecdotes et impressions sur leurs rencontres de la nuit, avant de terminer leur service à 6 h, lorsque l’établissement ferme temporairement.
Ce que ces horaires révèlent des comportements humains
Les horaires d’affluence dévoilés par Catherine De Noire en disent long sur les habitudes sociales : la pause déjeuner, les fin de journée après le travail, ou encore les retours de soirée sont des moments de relâchement où les clients cherchent une échappatoire.
Plus intéressant encore, ces horaires montrent à quel point ces lieux s’adaptent aux rythmes de vie de leurs clients. Finalement, un bordel légal fonctionne presque comme une entreprise classique, avec ses pics d’activité, son personnel à gérer et ses habitués.
Un quotidien bien moins mystérieux qu’on ne le pense
Les bordels légaux sont souvent perçus comme des lieux énigmatiques, voire interdits. Pourtant, leur fonctionnement repose sur une organisation rigoureuse, des horaires précis et une gestion semblable à celle d’un hôtel ou d’un bar.
Et vous, imaginiez-vous un tel quotidien dans un lieu aussi particulier ?