Cette maman achète le petit-déjeuner à un sans-abri, il lui glisse un mot avec une révélation

Publié le 6 février 2018
MAJ le 27 novembre 2024

Au cours de notre vie, nous sommes confrontés à de multiples événements, positifs et négatifs, qui nous permettent de grandir comme le mariage, le fait d’être maman, la réussite professionnelle ou encore la séparation, l’échec scolaire et la perte d’emploi, pour n’en citer que quelques-uns.

Toutefois, la tournure de ces événements n’offre pas la même finalité à chacun comme c’est le cas des personnes qui se retrouvent in fine, sans domicile fixe. Ils font face à une terrible souffrance, à la fois physique et psychique. 

La souffrance psychique des sans-abris 

En effet, au-delà de l’impact physique de se retrouver sans domicile fixe dans le froid et l’austérité de la rue, les sans-abris sont en proie à la souffrance psychique. Ils se sentent exclus de la société, sans ressources pour vivre ni pour survivre. L’arrivée dans ces conditions de précarité est causée par une perte matérielle ou affective qui provoque déjà un premier traumatisme psychologique. S’ajoute alors l’exclusion brutale par l’expulsion du domicile, faute de revenus, et qui constitue un second traumatisme. 
Au fur et à mesure que les sans-abris se retrouvent à vivre dans la rue, leurs capacités individuelles à remonter la pente et à garder espoir s’amenuisent. Effectivement, en plus de l’épuisement physique, ils sont moralement épuisés. D’ailleurs, la dépression qui les accompagne au fil du temps est rarement soignée par le simple fait de retrouver un emploi ou un logement car après cette expérience, il s’ensuit un sentiment de désillusion et de perte d’idéal. Cela s’explique notamment par les échecs successifs, au préalable, et par une réalité qui devient de moins en moins acceptable.
Par ailleurs, l’acceptation d’une aide est souvent difficile pour les sans-abris. Il est de coutume de dire en psychiatrie qu’il faut autant de temps pour sortir une personne de la rue que le temps qu’elle y a passé. Ainsi, une aide précoce sera mieux acceptée qu’une aide tardive. Et, paradoxalement à ce refus d’aide, plus l’état physique et psychologique commence à se dégrader, plus le besoin des autres se fait ressentir par les sans-abris. 
Par conséquent, notre rôle à chacun est d’aider les gens dans le besoin dont les SDF. Parfois, un simple geste de bonté peut les aider à survivre comme le prouve celui de cette jeune maman. 

Le geste de bonté de cette jeune maman 

Cette maman achète le petit-déjeuner à un sans-abri

Casey, une jeune maman et étudiante, se rend avec sa petite fille dans un restaurant célèbre pour ses donuts afin de prendre le petit-déjeuner. Elle remarque alors un sans-abri assis sur le bas-côté de la route. Il rentre dans le restaurant, dans l’espoir de pouvoir acheter quelque chose à manger ou à boire. 

Cette maman achète le petit-déjeuner à un sans-abri

Casey décide, avec le peu d’argent qu’elle a, de lui acheter un café et un bagel. Elle lui demande également de s’assoir avec elle et sa fille afin d’entamer une conversation car elle voyait bien qu’il souhaitait discuter.  
Cet homme sans-abri s’appelle Chris et il commence à se confier à Casey sur le fait qu’il n’a jamais connu son père et qu’il a perdu sa mère à la suite d’un cancer. Il lui explique que depuis qu’il vit dans la rue, il se drogue et n’apprécie par la personne qu’il est devenu. En outre, il subit constamment la méchanceté des autres. 

Cette maman achète le petit-déjeuner à un sans-abri

Casey l’écoute patiemment mais elle réalise qu’elle doit se rendre en cours et déposer sa fille à la crèche. Elle s’excuse auprès de Chris en lui avouant qu’elle doit partir. 

Cette maman achète le petit-déjeuner à un sans-abri

Chris demande alors à Casey d’attendre juste quelques instants car il souhaite lui écrire un mot. Il lui remet le mot, s’excuse d’avoir la main qui tremble, sourit et s’en va. Casey ouvre la note qu’il lui a laissée et est bouleversée par ce qu’elle lit. 

Chris avait écrit les mots suivants : « Je voulais me suicider aujourd’hui, grâce à toi, je ne le ferais pas. Merci, belle personne. » 

Cette histoire prouve que nous sommes tous capable d’aider notre prochain en partageant simplement un peu de notre nourriture et de notre temps et que les sans-abris, même s’ils ne tendent pas toujours la main, sont dans le besoin. 

Alors, si vous êtes d’accord sur la nécessité d’aider les SDF au lieu de les ignorer et faire comme s’ils faisaient partie du décor, partagez cet article !