Les plaisanteries du jour

Au cœur d'un cadre serein, deux individus d'un âge avancé profitent de l'instant présent sous l'ombrage bienveillant d'un chêne ancestral. Les murmures des feuilles, les éclats de rire des enfants à distance, et un chien en quête d'une balle forment la symphonie de ce tableau. Une parenthèse idéale pour flâner avec élégance.
Deux anciens compagnons, une coureuse et un sourire astucieux
Soudain, une jeune femme court, habillée d’un short et d’une brassière de sport. Cette scène attire l’attention.
– Léon, levant les sourcils : « Tiens, elle est charmante, n’est-ce pas ? »
– Maurice, esquissant un sourire : « Oh oui… On ne se lasse jamais de la beauté, peu importe l’âge. »
La coureuse les remarque, ralentit, et s’approche avec un air mécontent, visiblement contrariée.
– La coureuse : « Pourquoi souris-tu ainsi, vieux dragueur ? »
Sans se vexer, Léon reste calme et répond doucement.
– Léon : « Oh, excusez-moi mademoiselle. Mon sourire n’était pas déplacé. C’est juste que, malgré les difficultés de la vie, voir une jeune femme rayonnante éclaire toujours la journée d’un homme plus âgé. »
Touchée par la sincérité de Léon, la coureuse s’adoucit. Elle dépose un léger baiser sur sa joue avant de repartir, légère et gracieuse.
Maurice, surpris, éclate de rire.
– Maurice : « Ha ! Bien joué, mon ami. Quelle répartie, hein ? »
– Léon, avec complicité : « 3-0. À ton tour ! »
Michael et la vente la plus improbable
Quelques kilomètres plus loin, dans une grande ville, une autre histoire se déroule.
Michael, jeune homme originaire du Montana, vient d’arriver à New York à la recherche d’un emploi. Il obtient un poste dans un grand magasin de la ville.
Le jour de son embauche, le patron le met en garde.
– Le patron : « Ici, ce n’est pas le Montana. Pour garder ta place, tu dois vendre au moins 20 produits par jour. »
Michael acquiesce sérieusement. Mais en fin de journée, le patron vérifie les performances.
– Le patron : « Alors, combien de ventes aujourd’hui ? »
Michael baisse les yeux.
– Michael : « Une seule. »
Le patron s’irrite.
– Le patron : « Une seule ?! C’est inacceptable. Tu dois te reprendre ! »
Après une grande inspiration pour se calmer, le patron demande avec curiosité :
– Le patron : « Bon… quelle était la valeur de cette vente unique ? »
Michael relève les yeux.
– Michael : « 124 088,30 $. »
Le patron reste bouche bée, sur le point de tomber à la renverse.
– Le patron : « QUOI ?! Mais qu’as-tu bien pu vendre pour ce montant ?! »
Michael, imperturbable, commence son récit.
– Michael : « Eh bien… j’ai d’abord vendu des hameçons. Ensuite, j’ai recommandé une nouvelle canne à pêche. Comme il voulait pêcher en mer, je lui ai vendu un bateau. Et comme sa voiture ne pouvait pas tracter le bateau, je lui ai vendu un 4×4 Dodge. »
Le patron n’en croit pas ses oreilles.
– Le patron : « Donc, cet homme est venu pour acheter des hameçons et tu lui as vendu un bateau et un 4×4 ?! »
Michael esquisse un léger sourire.
– Michael : « Pas tout à fait. En fait, il était venu pour acheter des tampons pour sa compagne. Alors je lui ai dit : « Mec, ton week-end est compromis. Tu devrais aller pêcher. » »
Un soupçon d’humour peut tout changer
Que ce soit sous un vieux chêne ou dans les allées d’un magasin, l’humour et la répartie peuvent métamorphoser une situation ordinaire en un souvenir mémorable. Ainsi, la prochaine fois que vous croiserez un vieil homme souriant, vous comprendrez peut-être mieux ce sourire énigmatique. Et vous, quand avez-vous partagé votre dernière plaisanterie ? N’hésitez pas à faire découvrir ce texte à vos proches pour leur offrir une dose de bonne humeur !