Les scientifiques ont conclu que l’âme ne meurt pas
Parmi les mystères de la vie qui définissent l’Homme en tant qu’être, on retrouve la notion d’esprit et d’âme. L’âme s’illustre par la vie, par la conscience d’exister et par la pensée. En effet, il faudrait posséder une âme pour penser, et le fait d’être capable de penser prouverait que nous avons une âme.
Alors, en opposition à l’âme et de manière paradoxale, il y a le corps, constitué de chair et d’organes, qui lui est dans l’action et la réaction. En effet, l’âme est quant à elle plus dans la réflexion car elle raisonne. Elle le fait d’autant mieux lorsqu’elle n’est pas troublée par l’ouïe, la vue, la douleur ou quelque plaisir qu’il soit. L’âme a besoin de s’isoler pour saisir le réel. Le corps, quant à lui, obéit aux commandements de l’âme comme le prouve le sentiment de motivation pour moins manger durant certains régimes ou pour atteindre des objectifs de vie. Mais à la différence de l’âme, le corps n’est pas immortel comme le veut le cycle de la vie selon lequel nous naissons, nous vivons et inévitablement, nous mourrons. Cependant les scientifiques affirment que l’âme perdure, voici leur découverte !
La science et l’âme
En effet, des scientifiques se sont penchés sur ce phénomène selon lequel l’âme survivrait à la mort du corps. D’après Stuart Hameroff, un physicien américain, et Roger Penros, un physicien mathématicien, l’âme est maintenue dans les microtubules des cellules cérébrales. Les deux chercheurs nomment ce processus le « Orchestrated Objective Reduction ». Il semblerait que lorsque les humains sont cliniquement morts, les microtubules de leur cerveau commencent à perdre leur état quantique tout en retenant l’information qu’ils contiennent. En outre, Dr Hameroff explique qu’en cas d’expérience de mort imminente, l’information quantique retourne dans les microtubules et lorsque le patient ne peut être ressuscité, l’information quantique peut exister indéfiniment à l’extérieur du corps. L’âme humaine serait donc bien plus qu’une simple interaction neuronale, elle graviterait sur Terre après la mort de son enveloppe corporelle. Cela s’expliquerait également d’après de récentes études concernant la matière noire et l’énergie noire, c’est-à-dire les substances que les êtres humains ne sont pas capables de percevoir mais qu’ils ressentent.
Cette étude interroge donc sur la réincarnation au vu de la possibilité que l’Univers soit peuplé d’âmes.
La réincarnation, entre science, culture et superstition
La réincarnation est définie comme étant la nouvelle incarnation d’une âme dans un autre corps. Pour certains, ce phénomène n’est que superstition, pourtant certains évènements qui se sont produits laissent croire à la possibilité d’une vie antérieure. D’ailleurs, à travers le monde, plusieurs chercheurs ont recensé ces cas et la réincarnation figure dans diverses cultures et traditions religieuses.
Cela est même devenu un outil thérapeutique chez les psychologues et les praticiens de sophrologie ou de la relaxation active afin d’explorer les épisodes traumatisants de nos vies antérieures et qui affectent notre vie actuelle.
Cet intérêt pour la réincarnation peut s’expliquer par la peur de se perdre dans l’inconnu, par le besoin de concrétiser certains de nos maux, par la peur de la mort et notamment celle du moi. Ainsi, la réincarnation nous permettrait de perpétuer notre moi d’une vie à l’autre et de préserver notre égo.