Les secrets de la longévité révélés par l’ADN et le mode de vie d’une supercentenaire

Un ADN exceptionnel ?

Des scientifiques de l’Université de Barcelone ont identifié que Maria possédait un patrimoine génétique unique, ce qui retardait son processus de vieillissement biologique de 17 ans par rapport à son âge réel. En d’autres termes, son corps était plus jeune sur le plan biologique que son âge civil.

Mais ce n’est pas tout : la composition de son microbiote intestinal, à savoir l’ensemble des bonnes bactéries présentes dans son intestin, se rapprochait davantage de celui d’un enfant que d’une personne âgée. Cette particularité génétique pourrait expliquer sa capacité à résister aux maladies !

Son régime alimentaire : un exemple à suivre

Outre l’ADN, l’alimentation de Maria a joué un rôle crucial dans sa longévité. Elle adhérait à un régime méditerranéen reconnu pour ses bienfaits sur la santé. Voici les principes de son alimentation :

• Consommation de trois yaourts par jour pour favoriser un microbiote intestinal équilibré.
• Absence totale de tabac et d’alcool pour éviter d’accélérer le processus de vieillissement.
• Privilégier les aliments naturels et peu transformés tels que les fruits, les légumes, les poissons et les huiles végétales riches en oméga-3.

Ces choix alimentaires lui ont permis de maintenir des niveaux de cholestérol équilibrés et une régulation glycémique optimale, éléments essentiels pour prévenir les affections liées à l’âge comme le diabète ou les maladies cardiovasculaires.

Un mode de vie actif et positif

Maria ne se limitait pas à une alimentation saine. Elle menait une vie active et sociale, deux facteurs clés pour bien vieillir.

• Pratique régulière de la marche pour stimuler la circulation sanguine et entretenir le cœur.
• Entourage familial et social solide pour réduire le stress et favoriser un vieillissement harmonieux.
• Adoption d’une attitude positive car la sérénité et l’absence de stress chronique sont déterminants pour la longévité.

Ces éléments sont corroborés par plusieurs études démontrant que les interactions sociales et l’exercice physique sont aussi importants que l’alimentation pour bien vieillir.

Leçons à retenir

Les révélations sur Maria Branyas Morera vont au-delà d’un simple cas exceptionnel. Elles soulignent que nous avons un rôle à jouer dans notre propre longévité à travers des choix simples mais efficaces :

• Adopter une alimentation équilibrée et naturelle
• Éviter les excès comme l’alcool et le tabac
• Maintenir une activité physique régulière
• Cultiver des liens sociaux forts et une attitude positive

Les chercheurs envisagent désormais d’utiliser ces données pour développer de nouvelles approches anti-âge et mieux appréhender la manière de vieillir sans compromettre la qualité de vie.

Et vous, quels ajustements seriez-vous prêt à faire dans votre quotidien pour vivre plus longtemps et en meilleure santé ?